Encore sonné, à peine remis de mes émotions, à quelques centimètres, je voyais un autre

amoncellement. Pas le temps de reprendre mes esprits, sous le coup de l'excitation, je plongeais ardemment mes mains dans la terre et et les racines enchevêtrées.

 

Mes doigts palpaient ce qui ressemblait à de grosses pierres recouvertes encore par le ciment qui les avaient maintenues ensembles, certainement très longtemps, mais que le temps ou une main assassine avait désuni.

 

Tel un archéologue, je les exhumaient les unes après les autres jusqu'une plus grosse, plus lourde, bien plus lourde...