Mon expédition débuta ce mois de juillet 2016 et je parvins, non sans difficultés, à atteindre moi aussi cette fameuse porte, celle de l'Eygalier, et ce fameux arbre, celui encastré dans le mur.

 

Celle-ci avait encore été remplacée mais cette fois- ci, au moins, "l'horrible porte noire" portait plus que jamais bien son nom.

 

Alors que je la contemplait, ému, me remémorant les dernières lignes du château de ma mère, je marchais sur quelque chose de dur qui dépassait du sol. Je me baissais pour observer et découvrais enfoui sous les feuilles et la poussière...