Dans un recueil de souvenirs , Denise Dumas écrit au sujet de Germaine :

[...]La visite du château ne faisait pas partie de ses aspirations premières. Marcel orienta tout de suite Germaine vers le petit sentier, qu'ils empruntaient autrefois pour écourter le long chemin qui les conduisait a la Bastide neuve[...] Marcel était assez fier de son acquisition mais surtout ému d'accompagner sa sœur en ce lieu où, un tiers de siècle auparavant prise d'une effroyable peur avec la surprise malencontreuse du méchant gardien, elle s'était réfugiée à grand cri dans les jupes de sa maman.[...] "En ces instants présents, je sentais qu'il revoyait notre mère au cœur de ce paysage qui avait senti faiblir le souffle de ses dernières années de vie[...] Le canal de Bouzigues était encore la pour enchanter leurs pas en leurs offrant dans son murmure, une note du cher passé que les sensibles oreilles de Marcel savaient reconnaître".[...]